Description
C’était un après-midi d’automne. On avait ramassé des sanguins. Sur le parquet de la cuisine s’est
fracassé un dernier rayon de soleil. Ton torse nu, tes mains, ton sourire… Tant de beauté. À ce
moment-là, j’ai pensé aux oignons que je m’apprêtais à peler et qui allaient me faire pleurer.
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C’est les pieds nus qu’on foule le mieux les années
Couverture : Didier Janvier