Description
Extrait
A l’intérieur de ton crâne aussi poussent une herbe de printemps et de magnifiques pissenlits.
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Pourquoi frémir sous la voûte de l’espace ? Que faut-il craindre ? L’univers a ses bornes. Elles sont ouvertes.
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Si la lumière pouvait porter nos regards vers les confins du visible, elle repousserait ses limites jusqu’à se retrouver. La solitude de la lumière est désirable.
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Sentir le frais de l’herbe sous les pieds, le souffle du vent sur la peau, frôler les feuillages, vérifier la Vie.
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Faire offrande au vent d’un cerf-volant.